Personnaliser les préférences en matière de consentement

Nous utilisons des cookies pour vous aider à naviguer efficacement et à exécuter certaines fonctionnalités. Vous trouverez des informations détaillées sur tous les cookies sous chaque catégorie de consentement ci-dessous.

Les cookies qui sont catégorisés comme « nécessaires » sont stockés sur votre navigateur car ils sont essentiels pour permettre les fonctionnalités de base du site. ... 

Toujours actif

Les cookies nécessaires sont cruciaux pour les fonctions de base du site Web et celui-ci ne fonctionnera pas comme prévu sans eux. Ces cookies ne stockent aucune donnée personnellement identifiable.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies fonctionnels permettent d'exécuter certaines fonctionnalités telles que le partage du contenu du site Web sur des plateformes de médias sociaux, la collecte de commentaires et d'autres fonctionnalités tierces.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies analytiques sont utilisés pour comprendre comment les visiteurs interagissent avec le site Web. Ces cookies aident à fournir des informations sur le nombre de visiteurs, le taux de rebond, la source de trafic, etc.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de performance sont utilisés pour comprendre et analyser les indices de performance clés du site Web, ce qui permet de fournir une meilleure expérience utilisateur aux visiteurs.

Aucun cookie à afficher.

Les cookies de publicité sont utilisés pour fournir aux visiteurs des publicités personnalisées basées sur les pages visitées précédemment et analyser l'efficacité de la campagne publicitaire.

Aucun cookie à afficher.

Droit public général

« Czabaj » – Contentieux de la responsabilité des personnes publiques – Application (non)

Dans une décision attendue du 17 juin 2019, le Conseil d’Etat pose le principe selon lequel la jurisprudence Czabaj (CE, Ass., 13 juillet 2016, n° 387763, Rec. Leb.) ne s’applique pas aux recours tendant à engager la responsabilité d’une personne publique.

Pour rappel, la jurisprudence de 2016 a posé le principe selon lequel lorsqu’une décision administrative ne mentionne pas les voies et délais de recours ouverts à son encontre, elle ne peut faire l’objet d’un recours que dans un délai raisonnable d’une année, sauf circonstances particulières.

Or, estime le Conseil d’Etat, le contentieux en responsabilité ne tend pas à faire annuler ou réformer une décision administrative, mais à faire condamner la personne publique à réparer les préjudices qui lui sont imputables.

Partant, le principe de sécurité juridique qui fonde la jurisprudence Czabaj est, dans ce type de contentieux, assuré par la prescription quadriennale opposable aux tiers (loi n° 68-1250 du 31 décembre 1968).

CE, 17 juin 2019, n° 413097, Rec. Leb.

Réseaux sociaux

Nicolas Jarroux

Avocat senior. Intervient en droit de l'urbanisme.